Dossier au Conseil d’Etat: Koudou Dago attaque une fausse annonce de vente Paul Langevin

Dossier au Conseil d'Etat: Koudou Dago attaque  une fausse annonce de vente Paul Langevin

 

Dans un communiqué, le propriétaire du terrain, l’opérateur économique KOUDOU DAGO réagit   à une rumeur  de vente de l’Ecole Paul Langevin sise  à Marcory Zone 4 dont le site fait l’objet de litige. Le dossier est actuellement devant  le Conseil d’Etat. 

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« J’informe le  public qu’informe le public que ledit établissement scolaire n’est pas mis en vente.

Le terrain, l’immeuble comprenant les salles de classes et tous les meubles qui s’y trouvent ont le même propriétaire qui est Monsieur Koudou Dago en vertu d’un contrat de bail enregistré par devant Notaire venu à expiration et pour lesquels il paie les impôts à  l’Etat (vendeur  terrain en premier lieu en 1986), fait l’objet d’une Procédure en Révision devant le CONSEIL D’ÉTAT. Par conséquent, il décline toute responsabilité relative à une information de vente de ladite école circulant sur les réseaux sociaux » clarifie le communiqué;  

dago koudou « L’établissement scolaire n’est pas en vente et le propriétaire ne vend pas parce que l’affaire est au tribunal. L’Etat n’est pas propriétaire de ce bien, car c’est l’Etat qui a vendu ce  terrain en premier lieu depuis 1986.  Il ne peut en être bénéficiaire aujourd’hui.  L’affaire est pendante en révision devant le Conseil d’État.

Par conséquent celui qui achète par un autre moyen s’expose et sera tenu responsable de tout ce qui arrivera. Le terrain est un bien acquis depuis 1990 et sur lequel il paye les impôts.

L’école n’est pas à vendre, et l’affaire est actuellement devant le Conseil d’Etat », précise le communiqué.

C’est qu’en 1999, le propriétaire de la parcelle de terrain sur laquelle est bâtie l’Ecole  Paul Langevin a conclu un bail par devant notaire pour 11 années d’exploitation. Au terme du temps du bail, les locataires qui se trouvent être le couple de français Dalquier refuse de s’exécuter en libérant  le site. Un litige nait de ce fait. L’affaire est en 2024 devant le Conseil d’Etat.

H.M.