RDC: arrestation de l’opposant Salomon Idi Kalonda, conseiller spécial de Moïse KatumbiEn République démocratique du Congo (RDC), le climat politique se durcit à 6 mois des élections générales. Cet 30 mai 2023, dans la capitale Kinshasa, l’opposant Salomon Idi Kalonda, conseiller spécial de Moïse Katumbi, candidat déclaré à la prochaine présidentielle, a été arrêté par les services de renseignements à l’aéroport international de N’djili alors qu’il s’apprêtait à quitter Kinshasa avec l’opposant. L’opposition et des organisations de la société civile s’insurgent : Moïse Katumbi parle d’un enlèvement «crapuleux» ; c’est la démocratie qui est «morte», réagit l’ancien Premier ministre Matata Ponyo ; Georges Kapiamba, de la société civile, exige sa libération immédiate. Les autorités n’ont pas encore communiqué sur les raisons de cette arrestation.En République démocratique du Congo (RDC), le climat politique se durcit à 6 mois des élections générales. Cet 30 mai 2023, dans la capitale Kinshasa, l’opposant Salomon Idi Kalonda, conseiller spécial de Moïse Katumbi, candidat déclaré à la prochaine présidentielle, a été arrêté par les services de renseignements à l’aéroport international de N’djili alors qu’il s’apprêtait à quitter Kinshasa avec l’opposant. L’opposition et des organisations de la société civile s’insurgent : Moïse Katumbi parle d’un enlèvement «crapuleux» ; c’est la démocratie qui est «morte», réagit l’ancien Premier ministre Matata Ponyo ; Georges Kapiamba, de la société civile, exige sa libération immédiate. Les autorités n’ont pas encore communiqué sur les raisons de cette arrestation.

En République démocratique du Congo (RDC), le climat politique se durcit à 6 mois des élections générales.

Cet 30 mai 2023, dans la capitale Kinshasa, l’opposant Salomon Idi Kalonda, conseiller spécial de Moïse Katumbi, candidat déclaré à la prochaine présidentielle, a été arrêté par les services de renseignements à l’aéroport international de N’djili alors qu’il s’apprêtait à quitter Kinshasa avec l’opposant.

L’opposition et des organisations de la société civile s’insurgent : Moïse Katumbi parle d’un enlèvement «crapuleux» ; c’est la démocratie qui est «morte», réagit l’ancien Premier ministre Matata Ponyo ; Georges Kapiamba, de la société civile, exige sa libération immédiate.

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Les autorités n’ont pas encore communiqué sur les raisons de cette arrestation.

 

 

 

SOURCE:Fratmat