4 enseignants diffusent de fausses informations et se font arrêter par la police à Yamoussoukro

Quatre enseignants d’un collège à Yamoussoukro ont été mis aux arrêts pour avoir diffusé de fausses informations sur les réseaux sociaux. C’est une femme enseignante au collège privée Richelieu du quartier Kokrenou qui a lancé la fausse alerte à ses collègues de service en signalant une tentative d’enlèvement de dame YNM.

les agents du commissariat du deuxième arrondissement de la capitale politique ont reçu l’information et se sont dans l’immédiat rendus au collège Richelieu où se trouve la prétendue victime. Et effectivement, cette dernière soutient avoir été victime d’une tentative d’enlèvement alors qu’elle a “subi un taxi-ville de marque Toyota en direction du quartier appelé 220 logements”, écrit-il le journal Linfodrome.

Les recherches ont été menées pour retrouver le taxi-ville et son conducteur en fonction de l’information que la dame a révélé à la police. Mais il est arrivé qu’après les auditions, il ne s’agissait pas d’une tentative d’enlèvement. L’enseignante de Richelieu s’était trompée en interprétant mal la conversation du taximan en malinké.

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Elle envoya un message vocal à l’un de ses collègues, informaticien au sein du collège, qui a immédiatement fait une publication sur les réseaux sociaux sans vérifier les faits. Cette fausse information a été relayée par d’autres collègues, qui ont également été publiées sur les réseaux sociaux.Erreur ! Nom du fichier non spécifié.
Ph/Dr : Commissariat de Yamoussoukro

Mais selon la Direction Générale de la Police Nationale, dame YNM affirmait, dans son message audio, avoir porté plainte au commissariat de Police du 2ᵉ arrondissement alors qu’il n’en était rien. « Elle n’est jamais passée au commissariat, c’est plutôt le Commissaire qui après la publication est parvenu à la retrouver », révèle la Direction générale de la Police.

Les 4 quatre personnes arrêtées ont été conduites au Parquet de Toumodi pour diffusion de fausses informations. La Police encourage les citoyens à faire preuve de responsabilité et à vérifier l’information avant de la diffuser sur les réseaux sociaux car la diffusion d’une fausse information est passible de poursuites judiciaires.

4 enseignants diffusent de fausses informations et se font arrêter par la police à Yamoussoukro

 

Quatre enseignants d’un collège à Yamoussoukro ont été mis aux arrêts pour avoir diffusé de fausses informations sur les réseaux sociaux. C’est une femme enseignante au collège privée Richelieu du quartier Kokrenou qui a lancé la fausse alerte à ses collègues de service en signalant une tentative d’enlèvement de dame YNM.

les agents du commissariat du deuxième arrondissement de la capitale politique ont reçu l’information et se sont dans l’immédiat rendus au collège Richelieu où se trouve la prétendue victime. Et effectivement, cette dernière soutient avoir été victime d’une tentative d’enlèvement alors qu’elle a “subi un taxi-ville de marque Toyota en direction du quartier appelé 220 logements”, écrit-il le journal Linfodrome.

Les recherches ont été menées pour retrouver le taxi-ville et son conducteur en fonction de l’information que la dame a révélé à la police. Mais il est arrivé qu’après les auditions, il ne s’agissait pas d’une tentative d’enlèvement. L’enseignante de Richelieu s’était trompée en interprétant mal la conversation du taximan en malinké.
Elle envoya un message vocal à l’un de ses collègues, informaticien au sein du collège, qui a immédiatement fait une publication sur les réseaux sociaux sans vérifier les faits. Cette fausse information a été relayée par d’autres collègues, qui ont également été publiées sur les réseaux sociaux.Erreur ! Nom du fichier non spécifié.
Ph/Dr : Commissariat de Yamoussoukro

Mais selon la Direction Générale de la Police Nationale, dame YNM affirmait, dans son message audio, avoir porté plainte au commissariat de Police du 2ᵉ arrondissement alors qu’il n’en était rien. « Elle n’est jamais passée au commissariat, c’est plutôt le Commissaire qui après la publication est parvenu à la retrouver », révèle la Direction générale de la Police.

Les 4 quatre personnes arrêtées ont été conduites au Parquet de Toumodi pour diffusion de fausses informations. La Police encourage les citoyens à faire preuve de responsabilité et à vérifier l’information avant de la diffuser sur les réseaux sociaux car la diffusion d’une fausse information est passible de poursuites judiciaires.

 

 

KCE