Dabé Yves Michel Junior qui ambitionne de défendre les couleurs de sa formation politique, le Front patriotique panafricain (Fpp), à cette compétition électorale, a dit ne pas être « un symbole de rupture violente ». Mieux, il dit voir en sa candidature, « le signal d’une relève claire ». Fort de cette conviction, le candidat a affirmé : « L’histoire s’écrit maintenant, et nous serons dignes de cette nouvelle page qui s’ouvre ».
C’est Émile Ebrottié, 1er secrétaire permanent adjoint de la Cei, qui a enregistré sa candidature. Il était assisté de son adjoint, Doumbia Soumaïla.
Mohamed Kouakou N’Da a été la première personnalité à déposer son dossier de candidature, le vendredi 25 juillet. Le concerné avait soutenu que son acte est la manifestation de son aspiration à présider aux destinées de la Côte d’Ivoire, sur la base d’un projet de société empreint des valeurs de bonne gouvernance, une gouvernance vertueuse qui va rompre avec les pratiques. « L’acte que je viens de poser se veut un acte rénovateur, un acte majeur qui est de nature à ramener la sérénité dans ce pays », avait-il spécifié, après avoir remis, ce jour-là, aux responsables de l’institution électorale, une chemise contenant les documents requis pour faire acte de candidature.