Kinshasa, de son côté, répond : « pas un seul prisonnier libéré avant, revenez d’abord à Doha et on en discute dans l’accord », tel est le message. L’AFC/M23 refuse et insiste : la prochaine étape doit porter sur les causes profondes de la crise.
Les difficultés « surmontées » ?
Entretemps, le médiateur qatari tente de pousser les deux camps. « Nous reconnaissons les difficultés sur le terrain et espérons qu’elles pourront être surmontées rapidement grâce au dialogue et à un engagement sincère », a confié à RFI un responsable qatari.
Selon nos informations, les deux délégations sont censées se retrouver à Doha dès ce mercredi, après le travail de facilitation mené par le Qatar. C’est possible que l’AFC/M23 envoie des délégués, mais selon nos informations, leur nombre n’est pas encore connu. L’AFC/M23 insiste : il ne s’agira pas de discuter tout de suite des causes profondes, mais d’abord de l’application de la déclaration de principes et des préalables avant d’aller plus loin. Lire la suite…