Amaigri et affaibli après une opération à cœur ouvert, l’ancien pilier du régime Bouteflika est apparu dans le box des accusés, près de six ans après son incarcération en 2019.
Le procès a toutefois été reporté en raison de l’absence des parties civiles.
M. Louh, qui espérait bénéficier d’une libération en 2024, fait face à une nouvelle série de poursuites judiciaires, prolongeant sa détention dans l’établissement pénitentiaire d’El Harrach.
Ancien fidèle du cercle présidentiel durant les années Bouteflika, il avait été critiqué pour avoir usé de l’appareil judiciaire à des fins politiques, protégeant certains proches du pouvoir tout en s’attirant l’inimitié de figures influentes du système sécuritaire et militaire désormais au pouvoir.
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Source: APANEWS