Présidentielle d’octobre : Le Conseil des Droits de l’Homme des Nations unies répond à Laurent Gbagbo
« Par une décision rendue le mercredi 20 août 2025, le comité des Droits de l’Homme a conformément à sa pratique constante, choisi de ne pas ordonner, à ce stade, les mesures provisoires telles que sollicitées », note le Conseil de Laurent Gbagbo.
CI-DESSUS LA REPONSE DE L’ONU.
Le Secrétaire Général des Nations Unies (Haut-Commissaire aux droits de l’homme présente ses compliments au Représentant Permanent de la Côte d’Ivoire auprès de l’office des Nations Unies et des autres organisations internationales à Genève et a l’honneur de transmettre ci-joint le texte d’une communication datée du 21 juillet 2025, qui a été soumis au Comité des droits de l’homme en vertu du Protocole facultatif se rapportant au Pacte international relatif aux droits civils et politiques, au nom de M. Laurent Gbagbo.
Cette communication a été enregistrée sous le numéro de dossier 4825/2025.
En référence à la règle 94 de son règlement intérieur, après avoir examiné le dossier,́,’́́,́́́ ̀’, mais invite l’État Partie à prendre toutes les mesures nécessaires pour garantir que l’auteur puisse exercer ses droits politiques en vertu de l’article 25 du Pacte.
Le Secrétaire Général serait reconnaissant à l’État partie de bien vouloir adresser ses renseignements et observations, conformément à l’article 92, paragraphe 2, du règlement intérieur, au Comité des droits de l’homme, Haut-Commissariat aux droits de l’homm Office des Nations Unies à Genève, dans un délai de six mois à partir de l’envoi de présente note, c’est-à-dire au plus tard le 20 février 2026.
Le Secrétariat rappelle à l’État partie que, conformément à sa note du 8 mai 202-le Comité a décidé de suspendre, jusqu’à nouvel ordre, la possibilité pour les Etats parties de demander l’examen de la recevabilité de la communication séparément de son bien-fondé (demande scindée).́’ ́́́́́.
Le 20 août 2025