Le Salon international de l’agriculture et des ressources animales d’Abidjan (Sara) a débuté le 23 mai pour prendre fin le 1er juin 2025. Ce salon qui constitue l’une des principales plateformes de rencontre et d’échange d’expériences entre les acteurs des secteurs agricoles, des ressources animales et halieutiques en Afrique de l’Ouest, permet au secteur public et privé d’analyser et de proposer des solutions pour l’amélioration de la production agricole et halieutique.
Dans ce sens, plusieurs entreprises et acteurs agricoles, à travers des panels, ateliers, rencontres BtoB et échanges avec la presse, expliquent le bien-fondé de leurs actions, produits ou services. Dans ce cadre, Bayer a organisé une rencontre avec la presse, dans l’après-midi du lundi 26 mai 2025, pour présenter sa solution pour l’amélioration de la production des producteurs et partant, participer à la sécurité alimentaire.
« Un programme innovant appelé ‘’Better Life Farming’’, tropicalisé en Côte d’Ivoire. Ce programme s’inscrit dans le bonheur des producteurs sur l’ensemble du territoire ivoirien. C’est un programme de chaîne de valeurs, où l’on connecte l’ensemble des acteurs de bout en bout. En débutant par les producteurs qui sont le maillon super important de la chaîne », a instruit Rita Adopo épouse Zébéhi, responsable écosystème et partenariats Afrique de l’ouest et du centre.
Ajoutant qu’à travers les centres « Better Life Farming », c’est la manière pour Bayer de se rapprocher le plus près possible des producteurs. « Notre objectif d’un point de vue global, c’est d’atteindre 5 millions de petits producteurs. En Afrique, nous voulons toucher 25 millions de petits producteurs à l’horizon 2030 », a-t-elle insisté.
Selon elle, avec ce programme BLF, c’est un minimum de 8 tonnes à l’hectare pour le maïs, alors que la norme de la Fao qui communique sur les rendements du maïs, indique que les producteurs sont à 1,2 tonne. Cela voudrait dire qu’il y a un gain 4 fois plus.
Amandine Berthoud, directrice commerciale Bayer Crop Science, Afrique de l’Ouest et du centre, à son tour, a instruit que son entreprise innove et propose des solutions pour améliorer la santé dans le monde, également pour améliorer la qualité de vie des producteurs agricoles. « Nous travaillons spécifiquement dans cette branche agricole. Pour le marché ivoirien, nous proposons des solutions pour la protection des cultures, des solutions en termes de semences », a appuyé Amandine Berthoud.
Qui a expliqué que son entreprise offre deux types de semences. A savoir des semences de maïs hybride et des semences potagères hybrides. « Nous amenons également des services pour les producteurs ivoiriens, et des pays de la sous-région. Bayer est installé en Côte d’Ivoire depuis 2015 », a-t-elle conclu.
Source: fratmat.info